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Personne prenant des notes sur un cahier avec son ordinateur portable juste devant. À droite, on lit : Faits saillants de la réunion du conseil.
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Faits saillants de la réunion du conseil de janvier

Le conseil se réunit quatre fois par an pour superviser les activités de l’Ordre des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance visant à réglementer la profession dans l’intérêt du public.

Voici les faits saillants de la réunion du 15 janvier 2025.

L’essentiel

À chaque réunion, le conseil discute des réalisations clés de l’Ordre dans le cadre de ses priorités stratégiques. La protection proactive du public est l’une des priorités stratégiques de l’Ordre. Cela signifie que nous recherchons et appliquons des stratégies fondées sur des données probantes pour prévenir les risques et les préjudices dans la pratique de la profession. En janvier, le conseil a abordé deux projets en cours :

Vers un programme spécifique de formation continue ou de remédiation (remise à niveau)

Le comité des plaintes a récemment obtenu la possibilité d’ordonner des mesures correctives de remise à niveau, telles que des cours ou du mentorat, à la suite d’une enquête sur une plainte, si cela s’avère nécessaire pour protéger les enfants et le public. Il s’agit d’un programme spécifique de formation continue ou de remédiation/remise à niveau (SCERP en anglais). Les SCERP permettent aux membres d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour exercer de la profession en toute sécurité.

D’autres organismes de réglementation de l’Ontario peuvent recourir à ces programmes depuis de nombreuses années. Afin d’appliquer cette nouvelle possibilité de manière efficace et équitable, l’Ordre a étudié la manière dont d’autres organismes de réglementation utilisent les SCERP afin de déterminer les meilleures pratiques. Les résultats de cette recherche seront utilisés en vue d’élaborer le processus du comité des plaintes en la matière.

Communication permanente axée sur la prévention

L’Ordre communique régulièrement avec les employeurs et le ministère de l’Éducation afin d’aborder les préoccupations à faible risque. Ces communications permettent aux employeurs de soutenir les EPEI et d’améliorer leur pratique et la qualité des services de garde. En plus de prévenir les problèmes à faible risque, cette approche contribue à réduire le nombre de cas signalés à l’Ordre ne relevant pas de fautes professionnelles, ce qui permet à l’Ordre de se concentrer sur les dossiers à plus haut risque.

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